[rp/fic] Jours en enfer

Le 15 janvier 2013 , les chercheurs avaient mis au point un vaccin contre le cancer , ils commencèrent par le tester sur des rats qui , après être reposés en cage , devenez fou et tuèrent les rats non-traités . Un scientifique se fit mordre , il mourut 3 jours plus tard a l'hôpital , il se réveilla peu après et s'attaqua aux infirmiers , ce fut un véritable carnage ,les morts se relevaient et s'attaquaient aux vivants , le premier jour de la fin du monde ....



Nous sommes le 13 mars 2013 , les humains tentent de survivre par tous les moyens , certains s'entraide . Alors que d'autre choisissent la facilité et forment des petits groupes s'attaquant aux marchands qui ravitaillent les petites villes restante , les autres vivent des vies de nomade , ils sont neutres et ne prêtent pas attention aux autres personnes qui ne sont pas dans leurs groupes , il ne vous viendront jamais en aide si vous ne les avez pas aidez auparavant , notre pays a était mis en quarantaine .....



Présentation :

Je suis Teck , un jeune homme de 17ans ayant grandi, avant le massacre dans une cité assez "chaude" , mon père est mort lors de mets 3 ans , ma mère m'a élevé du mieux qu'elle pouvait , mais j'avais vite sombré dans l'illégalité , les règlements de compte , les braquages d'épiceries
. Le jour de la panique , ma mère m'a réveillé pour me dire qu'il fallait que l'on parte d'ici , qu'il se passait des choses horrible dehors , je lui est tous simplement dit de me lâcher , elle est sortit seule de l'immeuble en pleurs et je crois que je me rappelle avoir entendu le moteur de notre vieille 106 blanche retentir , j'espère qu'elle a pu s'échapper ….




j'espere que vous aimez

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c'est un rp , si vous le voulez vous pouvez rentrer dans l'histoire et faire vivre votre perso

c est bien continu

merci, j'attends des inscriptions

Je me réveilla assez tôt dans mon lit de fortune , j'étais dans la ville de paradis , une petite cité renforcée ou un grand groupe de survivant avaient trouvé refuge , je me leva puis je pris ma barre de fer ( nous ne sommes jamais trop prudent ) , je la mis sur mon dos , me gratta les yeux puis regarda la table ou j'avais mangé la veille , il restait un petit bout de pain , je l'attrapa , je le mis dans bouche et m'habilla , je sortis de mon petit abris pour découvrir un soleil éblouissant .
« Putai* , dis-je en me cachant les yeux
en allant a la fontaine d'eau potable je vus un marchand ouvrant son commerce , j'en profita pour lui voler une petite pomme discrètement , arrivais a la fontaine je me rinça le visage , j'entendis des coups de feu
-Encore ces choses ….
je monta sur la muraille où 3 gardiens commençaient leurs journée en canardant une quinzaine de zombies qui se rapprochaient un peu trop , un d'entre eux me poussa en me disant de ne pas rester la , des bruits sourds sur la porte ce faisait entendre.
-MERD* ILS SONT BEAUCOUP TROP !!!! cria le 2eme gardiens
En me retournant j'aperçus que 2 mitrailleuses se mettaient en place et je décida de m'écarter un peu de la foule de gens qui ne comprenais rien et qui s'étaient réveillé avec le vacarme . Je me disais que si les zombies entraient ils attaqueraient les grands groupes plutôt que 5 ou 6 personnes isolées
-Le bruit des tirs a ameuter une armée de zombies , aucune raisons de paniquer , nos soldats sont très bien entraîné , dit une personne chargeait de calmer les foules alors que des gardiens avec des boucliers anti-émeute se mettaient en place »
Ils avaient peur , je sentis un frisson me monter dans le dos , la porte allait céder …



KOM JATEN DOTRE GEN

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Je suis Lumi, jeune garçon âgé de 19ans , plutôt timide et réservé, et j'ai passé mon enfance a la campagne, chez mes grand-parents. Je suis fils de fermier et j'occupe mes journées à me promener dans les champs , en surveillant le bétail.

Le jour ou le début de l'apocalypse commença , j'étais tranquillement allongé sur l'herbe à regarder le ciel , quand j'entendis des coups de feu.
Apeuré, je rentra chez moi et découvrit mes grand-parents assassinés, avec des marques de morsures sur tout le corps, les organes ayant été dévorés par les zombies. Je pris alors la fuite en direction de la ville ...

Crak !
Le bruit de la porte se fit entendre , une des deux mitrailleuse pris de panique fit feu , aussitôt suivie par la deuxième et par les soldats possédant les boucliers , la porte tomba , et les zombies firent leurs apparitions , j'étais pétrifié , la peur me rongeait , mais heureusement les goules se firent repousser sans trop de dégât et a ma bonne surprise , assez facilement . Maintenant , il fallait enlever les cadavres de là , les soldats s'approchèrent et premier pris une des goules et la mis dehors , une deuxième personnes fit de même , le troisième soldat approcha mais un zombie qui n'était pas encore mort eu la joie de goûter a son mollet , aussitôt il dégaina et lui tira dans la tête , un soldat s'approcha de lui pour l'aider a se lever , on entendit quelqu'un crier
« décale toi Max , ton pote a été mordu , on doit le tuer
-Essaye juste de faire ça , dit max en rapprochant sa main de son arme ...
L'officier ayant donné l'ordre ne se fit pas prier , il sortit son fusil d'assaut et tua Max et le mordu , on entendait des personnes hurlant oh mon dieu dans la foule
-Quand on est mordu , on est mort , ajouta l'officier , c'est la règle N°1 ….
les mitrailleuses tirèrent dans le tas de cadavres pour s'assurer qu'il ni est plus d'incident de ce genre , les soldats m'étirent le feu aux cadavres lorsqu'ils étaient tous dehors.
Je décida de sortir avec un petit groupe de civil légérement armé pour trouver de la nourriture .

quel imagination débordante donc à ma première rédac' ou disserte qui vient je te file le sujet et tu me la fait en 2 jours

C'est aujourd'hui que j'aurais du avoir 20 ans.
Mais c'est pour une toute autre chose, que je suis si heureux.
Aujourd'hui, j'ai tué mon 800ème monstre. Je les appel monstres, car ils ne sont ni humains, ni mort vivants, et encore moins des "goules" où tout autre nom qui sortent des livres fantaisiste. Ils ont dis à la radio, que c'était un problème d'ordre génétique, qui comme le VIH, se transmettait par le sang et la bave.

Mais c'est aussi aujourd'hui, que j'ai trouvé MA planque. Un appart' dans un ancien quartier des affaires, dans la défense à Paris. Appart' au 42ème étage, l'ascenseur ne marche plus évidemment, mais sa m'a permis d'installer toute une tripoté de défense dans les escaliers, et de barricader tout mon étage.
J'ai mis 3 jours pour tout installer. Trois jours où je craignais chaque seconde qu'un de ces monstres ne me trouve et alerte tout une tripotée. Mais finalement ça c'est bien passé. C'est en allant chercher de quoi me nourrir que j'en ai croisé une petite dizaine.

J'ai oublié de me présenté. Taibot, un ancien geek qui commençait à foirer sa vie social et professionnel. J'ai quand même pu faire 2 ans dans un boulot de barman, dans une boîte miteuse, mais où des anciens militaires venaient se souler la gueule après avoir vu des choses horribles durant la guerre qui opposa l'Asie et l'Europe, après la plus grosse rechute de crise financière. Ces militaires là, on la langue bien délié après 4-5 verres, et j'ai pu apprendre a traficoter des armes, et à faire des Cocktaïls molotov. En plus de cela, les jeux vidéos, finissaient par devenir bien réel avant l'apocalypse, et je tire quand même super bien.

Et tout ça pour en arriver où ?
Je vis seul, j'ai toujours était très solitaire, et je trouve que je me démerde quand même cent fois mieux seul qu'accompagné par des crétins qui rate une action décisive quand on leur donne des ordres.
Mais c'est justement ce jour là, le jour de mes 20 ans et de mes 800 victimes, que j'ai trouvé une petite fille de 8 ans. Je l'ai trouvé complètement anéantis, bloqué dans sont appartement par, je ne sais comment, un bureau devant sa porte. Elle a pu se nourrir pendant ces 2 mois depuis le début de l'apocalypse, en mangeant tout le contenu des placard de chez elle.
Quand je l'ai trouvé, elle était, et l'est toujours, vachement sauvage et elle avait peur de moi. Je suis partis en la laissant, croyant de toute façon, que je ne pourrais pas la sauvé de toute façon.
Mais elle a finis par me suivre, et je pouvais décidément pas, putain de côté sentimental, la laissé dehors crever de faim ou manger par ces horreurs.
Demain, j'irais dans une de ces "barricades" en ville, et je donnerais la petite à une femme, qui s'en occupera largement mieux que moi.

Ah oui, elle s'appelle Julie.

Ah, et elle s'appelle